Si Marie Bonaparte devint indubitablement l’une des « “filles” de Freud » dont témoigne l’ampleur de ses engagements et de ses réalisations, elle n’en resta pas moins cette « femme de caractère » passablement intraitable, fixée qu’elle était à des éprouvés ayant trouvé confirmation dans les rigoureux travaux expérimentaux de Kobelt (1844) sur la physiologie du plaisir génital – en particulier ceux concernant le lieu anatomique prévalent de la volupté féminine – relayés par son premier mentor Gustave Le Bon.