« Relire Theodor Reik » n° 139, 2017/2 - pagesPages 5 à 6ÉditorialPar Sophie de Mijolla-MellorPages 7 à 18L’aveu : théorie psychanalytique et réalité juridiquePar Sophie de Mijolla-MellorPages 19 à 34La voix de père en fils. Une lecture reikienne de l’articulation du Surmoi et de la culpabilitéPar Jean-Michel VivèsPages 35 à 44Mélodie obsédante et pulsion d’exhumerPar Sophie de Mijolla-MellorPages 45 à 62L’hétéro-auto-analyse, une pratique reikienne ou portrait de Theodor Reik en Gustav MalherPar Jean-Michel VivèsPages 63 à 86L’inconscient s’amuse ; il chante ; il saitPar Riadh Ben RejebPages 87 à 107À couper le souffle ; écouter l’inexprimable avec ReikPar Claire GilliePages 109 à 119Theodor Reik et l’amour de la musiquePar François ArdevenPages 121 à 130Les rites de formation dans les sociétés discrètes et associations analytiques, approche historique de leurs destins à partir de l’œuvre de Theodor ReikPar Nicolas Gougoulis, Katryn DriffieldPages 131 à 144Rythme et psychose infantilePar Juan GomarPages 145 à 155Reik scénographe ? Une scène psychanalytique pour les rythmes pulsionnelsPar Lionel Raufast