Sublimation et symbolisation à l’adolescence
Le passage à l’adolescence repose sur une particularité clivée du fonctionnement psychique qui crée une dissonance parfois confondue avec une psychose.
Il engendre des passages à l’acte bruyants, parfois catastrophiques et en tous les cas démonstratifs des tensions que vit l’adolescent entre le sexuel infantile et la sexualité pubertaire bientôt adulte.
Comment cette part non dialectisable de la psyché adolescente va-t-elle pouvoir s’articuler avec la dialectique sublimation/perversion que l’on retrouve à tout âge, mais qui s’exacerbe ici ?
Comment mettre ensemble sans les réduire l’un à l’autre ce hiatus, et la possibilité d’un travail du négatif ?
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